Le Dictionnaire des Antiquités Grecques et Romaines de Daremberg et Saglio

Article URANUS'

URANUS' (Oipxv;). Le Ciel divinisé. Ce dieu, déjà nommé chez Homère 2,neprend vraiment une personnalité que dans la Théogonie attribuée à Hésiode. D'après l'auteur, il n'y avait à l'origine des choses que le Chaos, Gaea, c'est-à-dire la Terre [TELLUS], et l'Amour. De Gaea est né Ouranos, qui est devenu son époux ; ils ont eu un très grand nombre d'enfants, entre autres l'Océan, Cronos [sATURNUS], les Cyclopes [CYCLOPES], et les Géants [GIGANTES]. Tous dé testaient leur père, pour qui ils étaient un objet d'horreur; dès leur naissance il les avait cachés dans les profondeurs de la terre. A la fin, excités par Gaea elle-même, ils se révoltent contre sa tyrannie; Cronos s'arme d'une faux, forgée par sa mère ; il coupe les parties sexuelles d'Ouranos et les jette loin de lui. Du sang qui a dégoutté sur la terre naissent les Érinnyes [FURIAE], les nymphes [NYMJ'uAE] et de nouveaux Géants. Les organes eux-mêmes,tombés dans la mer, y donnent naissance à Aphrodite [vENus]. Ouranos, furieux contre ses enfants, leur adonné le nom de Titans [TITANES], « exprimant par ce mot leur oeuvre coupable »). L'empire du monde passe entre les mains de son fils victorieux ; mais il conserve un pouvoir redoutable, le don de prévoir l'avenir. C'est Ouranos qui, avec l'aide de Gaea, sauve de la mort et fait élever en secret le vengeur que lui ont promis les destins, Zeus, son petit-fils 4. Plus tard, quand Cronosa été vaincu et détrôné à son tour, Ouranos intervient encore pour empêcher que Zeus n'ait le même sort que son père et son grand-père; Ouranos veille sur lui et lui enseigne comment il évitera de trouver dans sa progéniture un rival et un successeur'. Ce mythe, chez les Grecs, s'est transmis d'âge en âge sans modifications notables; quelques textes, qui paraissent remonter àune autre source que la Théogonie hésiodique, ajoutent qu'Ouranos avait eu pour père Acmôn 0 ; d'autres le nomment lui-même Acmôn, l'Infatigable, peutêtre parce qu'il représentait aux yeux des Grecs une partie du monde qu'ils supposaient à l'abri de tout changement7; la même idée semble avoir inspiré l'épithète de 7é),xeoç; on le disait inaltérable comme l'airain 3. Homère et Ilésiode l'appelaient simplement le dieu étoilé, a repéet; 9. L'orphisme [oxruEUs, p. 249] et la philosophie, 76 URA --602 URB puis les poètes, dans la mesure où ils s'inspiraient de l'un ou de l'autre, ont développé ou interprété certaines parties de la tradition hésiodique, sans en oublier jamais les traits essentiels. C'est ainsi que l'union d'Ouranos et de Gaea symbolise pour Eschyle, qui la célèbre dans de beaux vers, la fécondation périodique de la terre, toujours prête, quand revient la belle saison, pour de nouveaux enfantements'. La Bibliothèque attribuée à Apollodore2 montre, en somme, que, malgré ces variations de détail, la légende d'Ouranos est restée chez lesGrecs à peu près telle que l'avaient conçue leurs plus vieux poètes. C'est que cette légende, adoptée par des théologiens pour expliquer les différentes étapes de la création et les transformations de l'univers, n'est point un thème sur lequel continue à s'exercer sans relâche l'imagination populaire; comme Cronos, son fils [SATURNUS], et à plus forte raison, Ouranos est un souverain déchu ; son rôle est terminé depuis un nombre de siècles dont on ne sait pas le compte; il s'efface devant Zeus, maître actuel des hommes et des dieux. Aussi, tant que la Grèce se suffit à elle-même, Ouranos, en réalité, ne reçoit aucun culte. Le contact des religions orientales donna, après Alexandre, un nouveau prestige à ce dieu sans dévots; il n'en était guère parmi elles qui ne rendit hommage à une grande divinité d'un caractère sidéral ; ainsi il arriva qu'à côté de Zeus, arbitre souverain de l'univers, les Grecs, par imitation, éprouvèrent le besoin de faire une place à leur Ouranos. qui avait pour lui l'avantage d'une antiquité plus reculée'. C'estcequesemblent indiquer les monuments de l'époque romaine. En effet nous voyons apparaître un dieu Caelus ou Caelum; qu'il soit d'origine proprement italique, on ne peut guère l'admettre, quoique Ennius l'eût déjà mentionné dans ses poèmes 4; il n'est autre qu'Ouranos, rajeuni et latinisé par les premiers écrivains de Home. Cicéron 3 est fort instructif à cet égard; il montre d'abord que la légende d'Ouranos a été transférée à Caelus, ruais aussi que les philosophes, notamment les stoïciens, tels que Zénon, Cléanthe et Chrysippe, en donnant une place importante à Ouranos dans leurs spéculations cosmogoniques, s'étaientefforcés de l'identifier avec les plus grandes divinités des nations étrangères'; d'où cette conclusion toute naturelle qu'il mérite les mêmes honneurs ; si les stoïciens ne vont pas jusque-là, si la coutume même continue à ranger Caelus au nombre des êtres merveilleux(monstra) dont les théologiens seuls se sont occupés, il est facile de voir que son rôle a été singulièrement grandi par ces rapprochements. On devine aussi que les théogonies postérieures à Hésiode, surtout celles qui émanent del'orphisme [oRruEUS], n'ont pas été sans influer sur la conception de Caelus à l'époque gréco-romaine; sa généalogie notamment comporte des variantes nouvelles : Cicéron lui donne pour père et mère l'Éther (Aether) et la Lumière (Dies)' ; d'autres, l'Océan et Téthys 8 ; ou bien on lui attribue une descendance inconnue des vieux âges 9. Alors on élève des temples à Caelus identifié avec quelqu'un des dieux les plus chers à l'Orient f 6 ; surtout il se confond si bien avec sl1'runA, que sous le nom de Caelus, à défaut d'indication plusprécise, c'est encore Mithra qui se cache 1l. Les arts, à la même époque, inventent, pour caractériser le Ciel, une image qui devient usuelle dans l'iconographie del'Empire: celle d'un homme barbu, vu à mi-corps, et soutenant avec ses deux bras relevés son péplos flottant en demi-cercle au-dessus de sa tête. C'est ainsi qu'il nous apparaît sur la cuirasse de la fameuse statue d'Auguste trouvée près de Rome, à Prima Porta; au-dessous du Ciel l'artiste a représenté Apollon, dieu de la lumière, emporté par un quadrige que précèdent la Rosée et l'Aurore (fig. 7236)". Ce type a passé ensuite dans l'iconographie de l'Église l'armée romaine, Auguste dut se préoccuper d'assurer la sécurité de la ville de Home. On sait qu'il y pourvut en créant des cohortes prétoriennes [PRAETORIAE c0u0RTEST chargées de veiller sur lui personnellement, et des cohortes urbaines préposées spécialement à la garde de la cité. C'est l'état de choses qui existait au temps de Tibère et que signale Tacite' : à cette époque il existait douze cohortes à Rome, neuf cohortes prétoriennes et trois cohortes urbaines; la première de celles-ci portait et a toujours porté le numéro X, venant à la suite de la 1Xe cohorte urbaine. En outre, une quatrième cohorte urbaine, qui portait le numéro III, était cantonnée àLyon2. Les choses ne restèrent pas longtemps en cet état ; dès le règne de Caligula ou au début du règne de Claude, il se produisit des changements que les inscriptions et certains passages des auteurs laissent deviner, sans les préciser ; Mommsen s'est arrêté au système suivant' : Claude aurait créé deux nouvelles cohortes : la XIVe, qu'il aurait établie à Ostie 4, et la XVe, mentionnée par des inscriptions, qu'il aurait envoyée à Pouzzoles, YKoî-KINKIO£ N1rPEIN URB 603 URB pour éviter ou combattre les incendies dans ces deux places de commerce et dans les docks qui y existaient. Lui ou son successeur ajoutèrent encore trois cohortes, la XVII, la XVIIe et la XVIlle 3; la XIIle revint de Lyon à Rome et y fut remplacée d'abord par la XVIIe°, puis par la X VIIIe O ; la XVlle avait quitté Ostie pour Rome en 69, sous Othon6. Toutes ces combinaisons supposent naturellement que les numéros des cohortes mentionnées par les textes cités en note nous ont été exactement transmis par les copistes ou les lapicides, ce qui n'est pas absolument certain. Tel était l'état de choses pour les cohortes urbaines au temps de Vitellius. Sous ce prince le nombre de ces cohortes fut réduit à quatre', sans qu'on puisse dire si dans ce nombre étaient comprises celles qui étaient cantonnées en dehors de Rome. Avec Vespasien nous arrivons à une organisation plus certaine et plus durable. La totalité des cohortes fut fixée à quatre 8; mais en outre l'empereur créa une nouvelle cohorte, la Ire (coll. I Flavia urbana)', qu'il établità "Lyon, tandis que la Mlle était envoyée à Carthage 10, où elle fut mise à la disposition du procurateur de l'empereur, chargé de la perception des impôts et de l'administration des domaines impériaux. Ultérieurement, entre 76 et l'époque de Trajan, pour laquelle elle est déjà menLionnée11, peut-être sous Domitien, une XlVe cohorte fut instituée; et dès lors pendant un siècle il y eut six cohortes, dont deux au moins en dehors de Rome 72. Au colrs du ne siècle, sous Trajan ou Hadrien, la cohorte de Lyon permuta avec celle de Carthage, la cohors prima étant en Afrique et la tertia decima en Gaule 13. Cette dernière parait avoir été supprimée à l'époque de Septime-Sévère'', après la défaite d' Min 15; on ne trouve plus aucune trace de son existence au 111e siècle. Il est encore question des cohortes urbaines (X, XI et XII; dans une dédicace à Constantin II, César (317 337)10 L'effectif des cohortes urbaines était, comme celui des cohortes prétoriennes, de mille hommes 17 ; mais elles ne contenaient pas de cavaliers. Le chef suprême de ces troupes était le PRAEI'ECTUS URBI (voir ce mot)18, du moins au fer et au lue siècle. M. von Domaszewski pense qu'au ne siècle elles faisaient partie de la garde impériale et étaient à la disposition du préfet du prétoire, tout en continuant à fournir au préfet de la ville son état-major". Au temps de Tibère, les urbaniciani campaient avec les prétoriens dans le camp prétorien à Rome 20 ; plus Lard, peut-être depuis Septime-Sévère21, peut-être depuis Aurélien22, ils occupèrent une caserne bâtie dans le voisinage du temple du Soleil, au forum Suarium22 (castra urbana). ACarthage, on a retrouvé l'emplacement de la caserne de la coltors I urbana sur le plateau de Bordj Les soldats des cohortes urbaines étaient des citoyens romains. Au début ils furent recrutés en Italie, comme les prétoriens"; dès l'époque des hlaviens on faisait appel aux provinciaux des parties les plus civilisées de l'empire; les Africains y furent admis depuis Septime- Sévère "6. La durée légale du service pour les urbaniciani était de 20 ans, comme pour les légionnaires 07 ; leur rang dans la hiérarchie militaire les plaçait au dessus de ceux-ci, mais i rÿ,0 r' au-dessous des préto( ~11i~ a 1,11 riens; c'est ce que prour ÿ vent un certain nombre d'inscriptions qui mentionnent des carrières militaires de soldats ou d'officiers de la garnison de Rome28, et le fait que la solde des légionnaires est inférieure à celle des soldats des cohortes urbaines 29 et celle-ci à la solde des prétoriens. Nous rapellerons seulement ici que les simples soldats touchaient, dans les cohortes urbaines, Auguste et que leurs émoluments atteignirent sous Caracalla le chiffre de 1250 deniers. Chaque cohorte avait à sa tête un tribun 30 Le monument qui nous fait le mieux connaitre le costume et l'armement des cohortes urbaines est une tombe de Selivri (Selymbria)31 (fig. 7237). On y voit, audessus de l'épitaphe de M. Cincius Nigrinus, soldat de la Xle cohorte urbaine, l'image d'un homme vêtu de la tunique, les épaules couvertes d'un sagum, les pieds chaussés de brodequins lacés au-dessus de la cheville ; la main gauche s'appuie sur le pommeau d'une épée courte ; une seconde, plus longue, pend du côté droit. Au-dessous du personnage est représentée, à côté d'objets en partie difficiles à déterminera'2, son armure complète : un casque avec frontal, couvre-nuque, aigrette, URI 604 URN et couvre-oreilles, un bouclier arrondi par le haut, une cuirasse à épaulettes, une jambière et une bras sière. R. CAGNAT. URCEUS, URCEOLUS. Cruche à eau C'est, chez les Latins, le pendant del'IY'DRIA des Grecs; maisl'urceus n'a qu'une anse comme nos cruches modernes. L'urceus aquarius peut être un arrosoir [TOPIARIUS, p. 360]. Dans un vers célèbre Horace l'oppose à l'amphore Il est ordinairement en argile4, mais on le fait aussi en métal précieux5 et en bronzes. Le même vase servait encore à contenir de l'huile et d'autres matières 7. L'urceolus est un récipient analogue, plus petit'. E. POTTIER. geur. L'art de plonger et de nager sous l'eau remonte aux plus anciens temps. Patrocle, voyant l'écuyer Kébrionès, frappé à mort, tomber de son char, se rit de lui et le compare à un homme qui pique une tète (xuotarx) dans la mer '. Mais le même mot s'applique déjà, dans la langue homérique, au bateleur et au faiseur de sauts périlleux [CERNUUS, PETAURISTA], sans doute par comparaison avec le plongeur 2. Ailleurs IIomère emploie le En Grèce, l'industrie très ancienne de la pêche des éponges avait développé de bonne heure l'art du plon nomme zo).uu.Pr,Opce la piscine où l'on s'exerçait'. Pollux énumère les termes qui se rapportent à la natation T71ç, etc.'. Il mentionne' le nom d'un plongeur célèbre, Scyllis ou Scyllias de Scionè, contemporain des Guerres Médiques, dont l'histoire nous est racontée diversement par Ilérodote et par Pausanias. Pour le premier 8, c'était un homme à la solde des Perses, et il retira pour eux quantité de matériaux précieux qui avaient sombré dans le naufrage de la flotte de Xerxès auprès du mont Pélion ; mais il en avait gardé pour lui une bonne partie et il passa ensuite dans les rangs des Grecs, pour les renseigner sur les circonstances du naufrage et sur le nombre des vaisseaux perses. D'après le second', Scyllis aurait favorisé le désastre des Perses en allant sous l'eau, lui et sa fille Ilydnè qu'il avait dressée à ce métier, détacher les ancres et livrer les vaisseaux à la tempête ; pour cet exploit les amphictyons de Delphes placèrent dans le sanctuaire les statues du plongeur et de sa fille; cette dernière fut emportée à Rome par Néron10. Par une conjecture fort ingénieuse et séduisante, M. Klein a supposé que nous avions, dans la statue dite « Vénus de l'Esquilin »", une copie romaine de l'original grec qui avait charmé l'impérial amateur 12. Un peintre de l'époque hellénistique, Androbios, peignit le plongeur Scyllis allant couper les ancres des Perses13. Pendant la guerre de Macédoine, le roi Persée, pris de frayeur devant la marche rapide des Romains, avait donné l'ordre de jeter à la mer les trésors de la ville de Pella; mais peu de temps après, le roi ayant eu honte de sa précipitation, on put faire rechercher et retrouver par des plongeurs presque tout ce qui avait été immergé". Comme dans la Grèce d'aujourd'hui, certaines localités étaient réputées pour leurs plongeurs, et la population entière se livrait à cette profession pénible. Les habitants d'Anthédon, en Béotie, avaient, dit-on, le teint rouge, le corps aminci et l'extrémité des ongles rougie par le travail dans l'eau de mer". Aristophane et Platon parlent aussi de l'exercice familier aux zonuu'rru;, qui consistait à nager sur le dos'° On a voulu voir, sur un lécythe à figures noires du musée d'Athènes ", la représentation d'une fête religieuse où avaient lieu des concours de plongeurs et de bateliers"; mais cette explication paraît peu vraisemblable, car plusieurs des personnages sur le bateau ou dans l'eau ont les mains liées derrière le dos, ce qui semble plutôt indiquer une punition infligée à des cou pables 19. En latin, urinare et urinari (dép.) ont le sens de plonger sous l'eau20. A Rome les urina/dires formaient une importante corporation que nous trouvons associée à celle des pêcheurs dans une inscription; ces plongeurs exerçaient leur métier sur tout le cours du Tibre21. Le Digeste traite du cas où des marchandises, jetées à la mer pour alléger le bateau pendant une tempête, sont retrouvées par des urinatores22. E. POT'TIER. tantôt dans le sens général de récipient à puiser ou à contenir de l'eau', tantôt avec l'acception plus précise de vase ayant une capacité déterminée. Les poètes, par exemple, attribuent une urne à IIylas allant puiser de l'eau 2, aux Danaïdes s'efforçant en vain de remplir leur tonneau «fig. 2290), à un fleuve ou à une nymphe laisstint écouler leur onde '° (fig. 6089, 6938, 6939.) Les agronomes et les naturalistes °, au contraire, exprimeront par ce terme une mesure de capacité qui équivaut à quatre fois le congius [CONGIUS, p. 1444] et à la moitié du quadrantal ou amphore [QUADRANTAL, p. 796]. On peut en évaluer la valeur en litres à 13 1. 13 G. Le même terme s'applique encore aux vases funé USU 605 USU raires' dans lesquels on déposait les cendres des morts [oLLA, fig. 5395, 5396], aux urnes dans lesquelles on mettait les bulletins de vote" elles tablettes du tirage au sort [sowrITlo, p. 1402, fig. 6520], ou qui contenaient la réponse d'un oracle 3 ; aux pots dans lesquels on cachait son argent`, etc. Urnula est un diminutif qui désigne un ustensile du même genre, de plus faible capacité'. Urnarium est la table sur laquelle on disposait les urnae remplies d'eau, soit dans la cuisine, soit dans la salle de bains1. E. POTTIER. USTRIN'A, USTRINUM. -Ce mot' désigne les locaux spéciaux, proche des nécropoles, des columbaria, où les parents, souvent assistés d'un uslor2, brûlaient les corps avant d'en ensevelir les restes'. A Rome il y en avait eu plusieurs jusqu'à la fin de la République, aux environs du campus Esquilinus, pour les nécropoles populaires'. Ils sont probablement alors tous relégués en dehors de la ville3 [lUNus. p. 1392-1395]. La loi de la colonie de Genetiva Iulia, de 44 av. J.-C., défend d'en établir de nouveaux à moins de cinq cents pas de la citée et la législation impériale les supprime en général à l'intérieures des villes'. CH. LI!CRIV VIN. IJSIJAR1US [usus].