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CULPA. __ Expression technique du di' sit romain pour désigner l'acte par lequel on fait involontairement tort à autrui, à la différence du nous Lus, qui est le tort commis avec intention de nuire. La faute ne comprend jamais 1 cas fortuits ni la fore majeure' ; elle implique toujours une négligence. On la nomme faute grave (culpa tata) quand elle est le I esultat d'une négligence cxerème (dissoluta negligentia)', et qu'il suffirait pour I'esiter du sens commun le plus ordinaire (nimia negligentia, non intelligere quo° omnes intelligent) ; les jurisconsultes impériaux assimilèrent la faute grave au dol, quant à la responsabilité civile de son auteur. Les autres négligences rentrent dans ce qu'on appelle la faute légère (culpa levis), pour laquelle les mêmes jurisconsultes admirent deux mesures, tantôt ne demandant que la diligence qu'on )pp ort,n à ses propres affaires (taler diligentiaen paient s
adleiber'e solet) ", tantôt exigeant la diligence du taire le plus soigneux (ta1ts diligentia qualena qe gentissimus pater familias suis rébus adtdbet) a; 1.e interprètes modernes 6 ont nommé le premier cas culpa in concreto, et le second culpa in abstracto, mais 1s en ont conclu à des systèmes probablement plus rigoureux que lux des jurisconsultes romains, qui décidaient d'après
6 nuances. C'est ainsi qu'ils ont essayé de faire admettre, outre la culpa levas, une culpa levissima dont la distinction ne ressort pas clairement des textes. Quoiqu'il en soit, ce qui résulte des lois contenues au Digeste, c'est que l'on est tenu seulement de la faute grave et du dol dans le dépôt et le précaire, et de la faute légère dans les autres contrats. sa is qu'on voie très bien pourquoi ces différences entre contrats analogues, comme par exemple d'un côte le dépôt et le mandat, et de l'autre le précaire et le louage',
F. li:AuDav.
CUTTER, diminutif cultellus likl.h2t tu, ;guyxsptç, diminutifs fxa',xipiov, gar'aipflsnu. Couteau. -Suétone emploie aussi la
forme machaera Le grec iasgmipa est plus Bague que le latin cuiter et signifie souvent un glaive, un poignard ou une epé; [9IACIAERA]. NOUS savons par Pollux' que sz/ulp(ÿ désigne plus particulièrement le rasoir [xovACL'LA].
Le couteau est un des plus anciens produits de lindustrie humaine; ses formes et ses usages sont extrêmement variés. lise distingue essentiellement de l'épée et du glaive [GLAntus] en ce qu'il n'est aiguise que d'un seul côté et par la courbure de sa lame, It est généralement pourvu d'un manche, qui peut être de la même matière que la lame ou d'une matière différente, telle que l'os, l'ivoire et le bronze', et qui est parfois sculpté, parfois aussi orné d'incrustations en métal' ou en pierres précieuses. Un couteau romain à manche d'or orné de pierreries a été trouvé en 1864 à Heiligkreuz 3 ; un tombeau romain, découvert à Weyden près de Cologne, a fourni un manche de couteau en os avec l'inscription ZESES e Un des motifs les plus fré
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quents 7 est celui d'un buste ou d'une figure en ronde bosse, enté dans un fleuron auquel fait suite la lame de métal (fig. 2099). Le Musée gallo-romain de Saint-Germain possède de nombreux objets du même genre; nous y avons dessiné ceux que reproduisent les figures 2100 et 2101, découverts l'un et l'autre près de Compiègne. Dans la figure 2100, le singe assis sur un chien et le fleuron sont en os, la monture est en argent et les restes de la lame repliée dans la rainure sont en fer.
Le tranchant du couteau peut faire corps Fig 2o99.-Manavec le manche, ce qui est le cas le plus fréehe deeonteou. quent, ou bien être mobile autour d'une char
nière, comme nos canifs, et ce replier dans la rainure pratiquée dans le manche (fig. 2100, et 2102) s. La lame était
en bronze, en fer ou en cuivre; à Rome, elle était généralement de bronze lorsque le couteau devait servir aux usage rt 'igieux [Airs]. On en trouve aussi de ce métal qui ont dû servir aux besoins ordinaires. Celui que reproduit la figure 2103 provient des fouilles du Châtelet. II Fig. 2102. Couteau ia est entièrement en bronze, mais le
manche était garni d'une autre matière qui a disparu. Les couteaux représentés dans les figures 2104 et 2105 sont entièrement de fer; le premier appartient au musée de Mayence, le second à une collection particulière de cette ville. Un autre (4..2106), de la même collection, a la lame de fer et le manche de bronze °. Pétrone mentionne, comme darticulièrement recherchés des cuisiniers, les couteaux en fer du Norique, coffres
temps du bas-empire, Clément d'Alexandrie nomme les couteaux de fer de l'Inde
Le couteau était souvent renferme dans une gaine ou un étui, qui pouvait contenir soit un seul instrument, soit plusieurs instruments réunis. Ces couteaux dans leur gaine
pouvaient être portés à la ceinture'', comme ceux des sacrificateurs dont il sera question un peu plus loin. Les figures 2107, 2108 sont
empruntées à un basrelief du musée du Louvre 13; un des étuis est muni d'anneaux et de courroies de suspension. Souvent un anneau
est ajusté au manche même du couteau; on en voit un spécimen dans notre figure 2109, avec la chaine qui y était attachée S4. Quelques couteaux gaulois en fer, trouvés dans les tombeaux à inhu
mation de la Marne t3, sont placés dans des gaines dont le côté extérieur seul est en bronze, l'autre côté, qui était en bois, ayant disparu. L'extrémité des gaines est parfois protégée par des bouterolles comme cela est fréquent dans les gaines d'épées et de poignards. Un autre exemple, que reproduit la figure 2110, provient de la Creuse et appartient au ler ou au ne siècle de notre ère "Al a conservé sa garde, avec une partie de son fourreau et sa bouterolle, le tout en bronza.
La partie inférieure du couteau est tantôt munie d'une douille, tantôt d'une soie ronde ou d'une soie plate17. Le Musée Britannique possède deux couteaux en fer trouvés à Londres. Le premier, ressemblant à un scalpel, porte un anneau de suspension à l'extré
mité du manche (fig. 2111) ; le second était fixé au moyen d'une douille à un manche en bois. Au milieu de la lame du second est un cercle,
où l'on voit gravée une figure debout dans l'attitude de l'adoration. L'une et l'autre
lame sont signées par le fabricant ocoanus . F. (ecit)
On aiguisait les lames de couteaux en les frottant contre une pierre dure [cos], comme on le voit dans la célèbre statue dite l'Arrottino, aujourd'hui à Florence, qui représente un barbare aiguisant son couteau pour écorcher Marsyasi9.
Un cippe funéraire du Vatican (fig. 2112)'° est décoré sur une face d'un bas-relief qui représente l'atelier d'un coutelier. Un jeune homme vêtu de l'ex-omis des artisans est assis devant un four allumé; à côté de lui est le soufflet, qu'il peut mettre lui-même en mouvement. Devant lui sont
r
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plusieurs blocs, sur l'un desquels est une enclume ; de sa main droite il tient, à ce qu'il semble, un couteau, tandis que de la gauche il maintient sur l'enclume une tige de métal, que façonne à coups de marteau un autre ouvrier debout devant lui. S'il est vrai (c'est ce qu'on distingue mal dans la sculpture) que le premier tienne la tige de métal dans sa main, il s'agit ici du travail du fer à froid. Dans un autre bas-relief, qui décore une
urne cinéraire 2f, et dans une peinture d'un vase d'Orvieto 32, l'ouvrier assis tient le métal à l'aide d'une pince : c'est le travail du fer à chaud. A la partie supérieure du basrelief du Vatican, on voit différents instruments suspendus à une planche et qui servaient sans doute à la fabrication des couteaux. Sur une autre face du même cippe (fig. 2113), le coutelier est re
présenté dans sa boutique (µmat, onmÀwv). Il est debout, vêtu d'une tunique lâche, costume familier aux marchands 23. Devant lui est la table de la boutique, avec un tiroir, et au fond s'élève une sorte de buffet où sont rangés les couteaux, serpes, faucilles, couperets, ciseaux de menuisier, etc., qui font l'objet de son commerce. De la main gauche, le marchand offre un couteau à l'acheteur placé de l'autre côté de la table, et paraît discuter avec lui sur la qualité ou le prix de la marchandise. Au rang inférieur du buffet, on voit des étuis ou trousses renfermant peut-être les instruments plus soignés, comme les rasoirs ou les instruments de chirurgie. Jahn a cru reconnaître un de ceux-ci dans une sorte de faucille, qui aurait servi à l'opération de la fistule [cHIRURGIA2, mais qui peut n'être aussi qu'une serpette, employée pour la taille des arbres fruitiers 2+.
Le couteau, chez les Grecs et les Romains, n'est pas une arme de guerre habituelle; gaxatpopdpos est une épithète
des guerriers barbares 2a. L'épée en forme de couteau, courbé comme un sabre ou un yatagan, n'était cependant pas inconnue [coins, MACIIAERA].
Couteaux de sacrifice. Des couteaux de sacrifice sont figurés dans un grand nombre de monuments représentant des sacrifices ou des sacrificateurs 26. Il est souvent difficile de reconnaître, dans les oeuvres grecques en particulier, si l'instrument est
un couteau ou un poignard ; l'art ne s'est pas astreint à une précision dont ni le langage ni l'industrie ne lui donnaient l'exemple. On voit sur un autel un petit couteau de sacri
à manche court, à lame légèrement courbée (fig. 2114), dans le vase de Vulci où Hercule
met en fuite les compagnons de Busiris qui s'apprêtaient à l'immoler28, et qui, dans une autre peinture99, se dispersent épouvantés en emportant leurs couteaux. Dans la figure 2115 tirée d'une coupe du musée du Louvre, le sacrificateur tient un
couteau à peu près semblable, mais plus large à son extrémité. Ailleurs, le couteau de sacrifice ne se distingue en rien d'une arme de guerre, épée droite à arête médiane, comme on en voit une à la main de Calchas dans la célèbre
peinture de Pompéi qui représente le sacrifice d'Iphigénie 30, ou coutelas à lame plus ou moins sinueuse comme on en voit souvent sur les vases peints, dans la main des Grecs, servant tour à tour pour le combat ou pour les usages domestiques (voy. plus loin la figure 2123). De même, dans la description d'un sacrifice Euripide 31 distingue un couteau pointu fait pour frapper la victime, appelé clpayfs et Eopiç, de la matis, qui servait plutôt à couper ou à dépecer (voy. coins, p. 1498).
11 est question plusieurs fois dans l'Iliade du couteau de sacrifice appelé µâxatpa. Agamemnon coupe de la laine de la tète des agneaux amenés par les hérauts à l'aide de la t.âxatpa, couteau « qu'il portait toujours suspendu près du grand fourreau de son épée 32. » Patrocle coupe avec son couteau la flèche qui avait percé la cuisse d'Euri
Fig. 2120. Couteau de sacrifice.
Fig. 2121. Couperet.
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pyte . Aristarque regardait comme interpolés deux vers de la description du bouclier d'Achille où l'on voit des jeunes hommes dansant avec des couteaux d'or suspendus à des boucliers d'argent34; il s'appuyait sur l'observation que
ne signifie jamais épée dans Homère, et qu'il n'était pas convenable que des danseurs eussent des couteaux . Métyatpa, dans ce dernier passage, semble bien employé dans le sens de glaive ou d'épée.
Chez les Romains on se servait aussi de différents couteaux pour égorger les victimes et pour les dépecer. On peut remarquer parmi les instruments de sacrifice gravés quelquefois sur les monnaies36, par allusion à des fonctions sacerdotales, un couteau (fig. 2116) qui s'é
Fig. 2116 loigne peu par sa forme de celui des Grecs représenté dans les précédentes figures. On le retrouve, dans des bas-reliefs, aux mains des sacrificateurs n La forme la plus ordinaire est celle qui est figurée sur le cippe funéraire d'un cuLTnARius3t, provenant de Capoue (fig. 2147). Elle se retrouve fréquemment dans les scènes de sacrifice et l'on possède encore des objets de ce type. 'lei est le couteau en bronze dessiné (fig. 2118) d'après le modèle conservé au musée de Rennes °°. D'autres ont été reproduits plus haut (fig. 2108, 2110). Un troisième, de forme un peu différente et encore inédit, appartient au musée de Melun (fig. 2119 a9); il est en fer, le manche est de bronze incrusté. Parmi les instruments de sacrifice des grands collèges sacerdotaux représentés sur les
monuments °, on peut remarquer un autre couteau qui n'a pas la forme
d'un couperet, mais qui est droit, aigu et à deux tranchants comme un poignard (fig. 2120) : c'est peut-être la secespita. Le couteau de sacrifice, dont se servaient les Flamines, les Flaminiques, les vestales et
les pontifes ,était, suivant Antistius Labéon cité par Festus et Servius, un couteau long, en fer, à manche rond et d'ivoire, orné au pommeau de bandes d'or et d'argent fixées par
céram. 111. pi. Lxxiv, Pélée taillant une taller dans une branche d'arbre, à l'aide de son de France. _33 Mao, du Capitale, IV, pi. alu; Labris, diao. di A!uotueu, lii, pi. VIls n' 3111 pl. 215, n'Oit; Cf. Gerhard, LIras2. Spiegei, cCxcvl. .-. 55 Grnier, Taocs'. t. Il, p. 640, n' il; Orelli, Ilaser. n. 4175.°° Voi.. celai de la frise du Louvre rependait fig. 2108), Clame, pi. 220, n' 252, et d'antres exemples réunis par Montfau
musée de Suint-Germain, n' 11215. 4e Barbaufl, Recueil de ns000meola anciens, Rame, 1770, pl. eut.; Piranesi, Lapides capitaliai. 61 Festus, u. n. Secespi;a li.
des clous de cuivre 01. Suétone raconte 42 que Tibère, dans la crainte d'un assassinat, fit substituer un jour, quand il sacrifiait avec Libo au milieu des pontifes, un couteau
de plomb (planobeum cultruni) à la secespita, qui était enfer. l,es grandes victimes étaient généralement tuées d'un coup de hache (secssris, dolabra) ou de marteau (noaileus) , tandis que les porcs, les moutons et les
oiseaux avaient la gorge coupée [SACRIF'ICIUM]De là l'expression d'Horace soc sub cultro liquit pour signifier qu'un ami l'abandonne en le laissant au proie à son fâcheux, le couteau sur la gorge.
Couteau de boucher. Virginius, dans le récit de Tite-Live , soustrait sa fille au déshonneur en lui plongeant dans le sein un couteau qu'il enlève à l'étal d'un boucher. Varron distingue les boeufs achetés pour la boucherie, ad cultrum, de ceux qui sont achetés pour les sacrifices, adaltaria. Il semble donc que les boeufs livrés à la consommation étaient égorgés, tandis qu'ils étaient abattus dans les sacrifices.
Le couteau de boucher est mentionné, dans un passage de Suétone u, comme un des instruments du bourreau à Rome. Quelqu'un s'étant écrié qu'il fallait couper les mains à un faussaire, Claude, qui présidait le tribunal, fit appeler sur-le-champ le bourreau avec un couteau et une table de boucher (carnificem statim acciri ram machaera met-isa que laitionia flagitavit). Mais le texte même de Suétone prouve que le fait allégué est une exception. Par leur forme. sinon par leur décoration, tes couteaux de boucherie et de cuisine ne devaient pas différer des couteaux de sacrifice qui avaient les mêmes emplois.
On trouve chez Pollux48, pour les instruments de cuisine, la distinction qui a déjà été faite pour ceux du sacrifice entre les simples couteaux, anrput , la XOltlÇ Ou couperet, à lame recourbée que l'on appelle aussi xsri o.nyclpLxa 00, et les èat-ilcç, qui paraissent avoir été des couteaux à écorcher, mais qui désignaient également les fables sur lesquelles se faisait cette
opération 01 On a déjà vu plusieurs couteaux en forme de hachoir et de couperet. Nous donnons ici un couperet de cuisine trouvé dans les ruines ro
maines du Châtelet" avec des objets d'usage journalier (fig. 2121; voy. aussi p. 1159, fig. 142).
1V, 413 s A bave auccincti cultros reesevete voisaisfri, et Lacan. 1,610. dont un peut rapprocher les sacrifices miihriaques pour lesquels on se servait d'une sorte de
3'ct1i;; Eustat. .4d Iliad. 0, 184, 5. 02 D'après le recueil des dessins de Grignon, appartenant à M. H. Bordier 1 voy. aussi Grivaad de la Vincelle, Aria et snet-eru
199
les bangs it i 'oup,ie en s convives par Un écus/ai'omniP, Ore voit, sur
in vase d cnen style au muse d. c du 1 2122), un
couperet r lr un autre vase, au musée de Berlin ", un
homme s ln , fripeen poisson : Son couteau plus
pointu n fis'•c beaucoup d'ailleurs du précédent (fer. 2123;. Cirez les Ilomai ss, le découpeur s'appelait scis
i '. Juvénal le qualifie pl rrnentde clin,rnorrtorauul,aiite
/tell,, `r pour indiquer la petite avec laquelle il s'ac
e 9 besogne. Il a que r geste, grec lequel on
un lièvre ne coi, ' r m. Iras a r ui découpe an poulet,
i'ii fin forte de r point re s confond En génér at les Ielen', pc nrl,icrit la viande découpée avec leurs doigts' i,
et leurs dents l 'r 'eut ii' der eau de table ; r epen_.
ira peut citer quelques r,r nv-.ir'rts où l'on. ;rait des
es couches près de la table où le repas est servi et ,tna.nt m couteau à la muon, Tell est le a.se grec d'où est rée la 1s1;ur ' ieprésent;nt Achille l'étant sa victoire prés la mort "Hector. Suri couteau e la forme courbée de la .ez'tztçx de cr,erre'1. Sur un autre vase " au musée du Louvre, Hercule, dans un banquet, tient aussi un couteau. Doms un fragment de Phérécr'ate conservé par
dollux et dont le texte est d'ailleurs très incertain, un
188 'Faré. up. Non. s. _. MIL VI, 13. Voy. aussi sur l'office des eher
rieilla'ri. se plaint qu'on ne lui ait pas donne de couteau; comment fera-t-il, lui qui n'a pas de dents, pour manger de la iéiande de boeuf? Pindare''' affirme que le fils de Tantale a été enlevé au ciel, et qu'il n'est pas vrai que les dieux aient découpé ses membres (ru,-'tu Tcuov .arà riL5)
pour en as" i_rirleurfrImn.Il3 r rt trinernent un temps
ou le couteau de table devint d'uus r I'. ,rutuel, comme on le voit p a r un passage de Clément u Alexandrie qui
le couteau à ratisser le fromage, Tupox•i»arri, que l' Ti api-1 :24. (,uhen ,...u repas.
1' . r,r ion iz6•Smv, couteau. à. écailler le poisson -st mentionné dans le partie grecque d l'édit de Dioclétien "-Cet instrument nous paraît identique aux ià9ur7rptàe; nommés par Pollux" parmi les g.zysé;s asti , bien que ia leçon du manuscrit soit i'9vorr7uiiS, que les lexiques interprètent par gril à faire cuire le poisson. La correction i~AuorTreSeç, czrCtri ps'sccttorii, a été adoptée par Imbu dans le Pollux d'Amsterdam.
Un couteau. à écorcher se voit eut e ns d'Apollon
sur un miroir étrusque, où le dieu te t, écorcher Marsyas ".
Couteau de citasse. Le classeur portait un. couteau ',rut il se servait pour dépecer saproie. Ce couteau cd,
o
par les ante,a gr ccs g.rfa noce "'' et par les lais_ vent:tarins. Ln valet, de armée d'Illyriie, au témoigne s de Suétone, fut trouvé la nuit près de la chambre à es.
de Trimalcion 72 un homme dépèce un sanglier à l'aide d'usa couteau de chasse; ce couteau ne diffère pas en général dans les monuments grecs de la 1rrtatpet de combat. Elle carie davantage ;ans les monuments étrusques ou romains (VENATIO]. Les bestiaires, qui combattaient les fauves dans l'arnphithéàtre, étaient parfois armés d'un couteau, d'or;_ l'expression de Sénèque se ad culltrtana locare, équivalant à « devenir bestiaire" id
On parlera ailleurs du rasoir [NOV_tcur.v], qui est quelquefois appelé cultelluasl" et cutter torasot'ius" . Pollux" nomme parmi les instruments du barbier les peignes (T=vrS),
163, b; x Nié. Th, ac 85 ; Ai erplw.rnr 308 errq ,r Iiesrch. . x ;, lioe,.
ii. II, 640, Leonid, Tarent, Anthol gis VI, 30: a Waddington et Le Bas, busc,. d'Asie Mineure, r,Omntentaire, p. 171, cap. Xlft, 1. 9, 10. 68 VI, 88.-70 Gerhard, Etrars/crsche spiegel, pl. urne,. 71 Apoilod. Ill, 13, 3. 72 Aug. XIX ; et. Id. Cloud. 13 ; Tacit. Ae,,. IIi, 43 ,, Cu. venabulis et cultris, qu aeque alla venautibus tels 'ont ;
-t 3la,t. XIV. 29. 78 Petro]. sut. 40. -7' Ep. LXXXVII 8. 73 Biplan. IX,
s3 Cie. De o?'. 11, 7; Plin. itlist, pat. VII, 59; Petrou. Sat. 108. -77 X, 140.
flans la figure 212'7, trappes un medaillc,n 'le :s
tuu-eu de Naples '`0, un faune remplit la ineme f i„u
dans un sacrifice rustique. Nous renvoyons 1 .curie SAGRLFICILM poux la description des rites s'ilenncls des sa
cridees. S. RarsACU.