MELINA. I Plaut. Epidic. 1, 1, 23, Leo. Edict. Diocl. Vlll, 29, 30, et Blümner, Ad h. 1. Dans le meles on a quelquefois voulu voir le blaireau; Var.. De re rust. III, 12, 3; Ser. Samm. 890; Plin. Hist. nat. VIII, 72, 132, 138; Grat. Cyneg. 340,
402.
MELISSA1. 1 Schol. Pind. Pyth. 4, 106 ; Hesych. s. h. v. ; Porphyr. De antro, 18, 2 Callimach. Hymn. Apoll. 110.
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ressort des termes de Pausanias que les Méliastes formaient un collège de Daubants, analogue peut-être au synode dionysiaque des g DooE;, à Phigalie' : d'ordinaire, cet office était dévolu à des collèges féminins THYADES1, comme à Delphes, en -Aide, en Attique. Pausanias nous laisse ignorer le caractère des cérémonies Jpyta) auxquelles participaient les Méliastes. On peut seulement inférera de la nature rustique du sanctuaire (yÉyapov indique une caverne ou un bosquet' du voisinage d'Aphrodite Mélainis (hypostase de Déméter Erinys `), du nom de Me, ç terra (Terres-Noires) et des MéIiastes (de roe1:«, frêne?) 3, que le Dionysos de Mélangéia était un dieu chthonien, envisagé dans ses rapports avec la végétation, un dieu à la fois infernal et sylvestre, de la famille des Dionysos Skianthias, Kryphios, Mélanthidès, Mélanaigis, Dendritès, Anthios'h Ce double caractère se retrouve aussi chez les nymphes Jieliai ou .lleliades, qui sont en même temps des Dryades et des espèces d'lrir,n es [xPMPHAE . G. lro0ccRE8.
