Le Dictionnaire des Antiquités Grecques et Romaines de Daremberg et Saglio

Article SERAPIS

SERAPIS ('épa7cts) 1. -Dieu égypto-grec, dont le culte, institué peu de temps après la fondation d'Alexandrie (332 av. J.-C.), se répandit dans tout le monde grécoromain avec ceux d'Isis, d'BARPOCRATES et d'ANUBIS. Il n'y a aucun fond à faire sur une tradition d'après laquelle Sésostris aurait élevé en Égypte une statue à Sérapis ; comme ou l'a observé dans l'antiquité même, cette tradition avait été inspirée uniquement par le désir de « vieillir » le nouveau dieu 2. On ne peut douter que sa première apparition coïncide avec la conquète macédonienne. Mais d'où venait-il ? Que signifie son nom ? Dans quel intérêt, sous l'influence de quels événements son culte fut-il introduit à Alexandrie ? Autant de problèmes sur lesquels la critique, après de longues et ni ill.iples recherches, n'est point parvenue à faire la lumière; déjà, au temps d'Auguste, on ne s'entendait plus sur ce sujet, et les témoignages qui s'y rapportent dans les écrits des anciens ne suffisent pas à nous tirer d'embarras. Au premier plan de la discussion il faut mettre un récit de Tacite ', qui concorde assez bien avec deux textes de Plutarque. « Pendant que Ptolémée, le premier des Macédoniens qui affermit la puissance égyptienne (Ptolémée I° Soter, 323-283 av. J.-C.), donnait à la ville d'Alexandrie, récemment fondée, des murailles, des temples et un culte, il vit pendant son sommeil un jeune homme '' d'une rare beauté et d'une taille surhumaine, qui l'avertit d'envoyer dans le Pont ses amis les plus fidèles pour y chercher sa statue : elle apporterait la prospérité à son royaume et lademeure qui la recevrait en deviendrait grande et glorieuse. Au même instant, le jeune homme s'éleva vers le ciel dans une auréole de feu. Pto Schwarz, 18 sq. I0 kohlcr, O. 1. p. 214, 295, p. 234 sq. Rua ottasenu:. Falk, la bibliographie antérieure, p. 4 sq. Ajouter Ciels, Parmenides Lukryedichl p. 15-21. V. aussi I.iger. Lu ferronnerie une, et moderne, Paris, 1885 ; Pitt Hivers, Marquardl, Vie privée des Romains (trad. fr.), p. 270 sq. ; I;eeker.G511, Chari/vies, lémée, troublé par ce présage miraculeux, s'adresse aux prêtres égyptiens, interprètes ordinaires de ces prodiges, et leur raconte sa vision nocturne. Comme ceux-ci connaissent peu le Pont et les pays étrangers, le roi fait venir l'Athénien Timothée, de la famille des Eumolpides, qu'il avait appelé d'Éleusis pour présider aux cérémonies sacrées°, et lui demande quel est ce culte, quelle est cette divinité. Tilnotllée s'enquit auprès de voyageurs q ui avaient visité le Pont" et apprit qu'il y avait là une ville nommée Sinope et, à peu de distance, un temple, depuis longtemps fameux parmi les habitants, Mi l'on adorait Jupiter-Pluton; à côté de l'image du dieu était aussi une figure de femme assise, que l'on appelait communément Proserpine. » Ptolémée oublia peu à peu l'oracle, « jusqu'à ce que cette mème apparition, plus terrible cette fois et plus pressante, vint lui annoncer qu'il périrait lui et son royaume, si ses ordres n'étaient pas exécutés. Alors il envoie au roi Scydrothémis, qui gouvernait en ce temps-là Sinope', des ambassadeurs' et des présents et leur prescrit, avant qu'ils s'embarquent, de consulter Apollon Pythien. Ils eurent une mer favorables et la réponse de l'oracle ne fut pas équivoque; le dieu leur dit d'aller, de rapporter la statue de son père '°, de laisser celle de sa soeur. Arrivés à Sinope, ils portent à Scydrothémis les présents, les prières et les instructions de leur roi. » Trois ans cependant se passèrent en pourparlers. « Enfin une ligure menaçante apparut il Scydrolhémis et lui ordonne de ne pas s'opposer plus longtemps aux volontés du dieu. Comme il tardait encore, différents Iléaux, des maladies, des signes manifestes de la colère céleste lui causèrent des tourments chaque jour plus cruels Il convoque une assemblée, expose les ordres du dieu, sa vision, celles de Ptolémée et les maux qui s'abattent sur la ville. » Le peuple ne veut rien entendre et une émeute se déchaîne. Mais « le dieu monta de luimenle" sur un des navire ancrés le long du rivage. Par une autre merveille, le troisième jour, malgré la longueur du trajet, la flotte aborde à Alexandrie. Un temple proportionné à la grandeur de la ville fut construit au lieu nommé Rhacotis; il y avait eu là un petit sanctuaire consacré anciennement à Sérapis et à Isis. Voilà sur l'origine et l'introduction de ce dieu la tradition la plus répandue '22. Je n'ignore pas que quelques-uns le l'ont venir de Séleucie, ville de Syrie, sous le règne de Ptolémée, troisième du nom (Ptolémée Évergète, 2.17 222 av. J.-C.)13. » Même si l'on dégage ce récit de ses éléments merveilleux, il contient encore tant d'invraisemblances qu'il a paru suspect à la plupart des cri SERA PIS. 1 Ssrapis est plus commun dans les textes grecs, Sérapis dans les textes latins. Pour déterminer la véritable orthographe il faudrait contadin: l'origine et le sens du mot. 2 ALhonodor. ap. Clan. Aies. l'otrepl. p. 14 Sylb. __ 84 ; Plut. 1s. et ()sir. 28; Solert. anime. 36. Cf. Parthcy ad A. 1. 4 Sérapis Ma jamais été represenlé comme un jeune homme (jurenis), mais comme un bouline d'ùge uù,r. 3 Cf. ;'lut. Ls. et Osir. ch. 28 p. 362 A ; Lafaye, Divinités d'dlcxandrie, p. 21. -e Un nominé Sosihius chez Plut. L, c. 7 Personnage inconnu, mais peut-Mn authentique; son nom, sous une l'orme hellénisée, semble cacher mn nom persan; Kra,l, p. 28, 92, 8 SoLélès et Diouysios ; Mulard]. L. c. 9 Plut. L. c., dit une Lempélo, à laquelle ils échappèrent par miracle. 10Apollon (Horus) est le hls d c Sérapis (Osiris), lui est lui uùn,o Jupiter aussi bien qu'il est Pluton. I sl ce que les co n e,,tat,,u, e de 'I;u ite D 'out pas compris, ;liai d ils ont I , opu. , pa1„ri pour corriger pétris. Enlevé par les ambassadeurs n Plut. L. . 10 lleprodoile aussi par I3ustalh. ad Dior. Pcriegel. 258, d'après Stoph. 13 .2 p. 071 Meiueke. 13 De méum Clerc. Ales. L. c., d'après Isidore de Chari', eontemporaiu de Strabon. SER 1219 SER tiques 1 et qu'on ne l'accepte guère qu'en l'interprétant, surtout à l'aide de la linguistique. Deux systèmes sont aujourd'hui en présence: 1° D'après une version que Tacite n'a pas connue, tandis qu'Alexandre était sur le point de mourir à Babylone (323 av. J.-C.), ses amis consultèrent pour lui Sérapis en son temple, dans la ville même. Cette tradition se recommande surtout par son ancienneté ; elle vient des Éphentérides royales, journal officiel du règne d'Alexandre 2; aussi a-t-elle réuni un assez grand nombre de suffrages, notamment parmi les orientalistes. Si elle était fondée, l'origine de Sérapis' devrait être cherchée, non point à Sinope, mais à Babylone et il aurait été connu, même des Grecs, avant sa prétendue révélation à Ptolémée. Ce serait un Baal chaldéen, dont le nom aurait été plus ou moins déformé en passant dans la langue grecque. Les partisans de cette opinion, du reste, ne la jugent point inconciliable avec le témoignage de Tacite: ils admettent que le dieu de Babylone avait été transporté très anciennement à Sinope, où des documents, en effet dignes de foi, attestent l'existence d'un établissement assyro-chaldéen, antérieur à la colonisation du pays par les Grecs 4 ; Sérapis serait donc venu de Babylone à Alexandrie en passant par Sinope. Cette combinaison est ingénieuse; mais ce que l'on ne voit pas du tout c'est l'intérêt qu'aurait eu Ptolémée, fondateur d'un nouveau culte, à introduire dans ses États, pour rapprocher les Grecs et les Égyptiens, un dieu assyrien, auquel ils n'étaient attachés ni les uns ni les autres 3 ; Certains savants, plus radicaux et plus logiques, ne retiennent de l'historiette de Tacite que le nom de Sinope, qu'ils croient y avoir été mêlé avant lui par suite d'une confusion. 11 y avait à Memphis une colline sur laquelle on entretenait le boeuf Apis ; on l'appelait la demeure d'Apis, en égyptien Sen Flapi, nom qui avait pris dans la bouche des Grecs la forme Etve ttov ° ; on y adorait Sérapis sous le vocable particulier de '/,El); EiVL07t;O); Il est bien tentant de supposer que nous avons là la clef de l'énigme En ce cas, la Sinope du Pont n'aurait été introduite dans l'avent are, soit par des lettrés ingénieux, soit par Ptolémée lui-même, que pour attribuer plus facilement au grand dieu d'Alexandrie une origine miraculeuse. En réalité, son culte, destiné à favoriser la fusion du peuple conquérant avec le peuple conquis, aurait été emprunté à Memphis. Dès l'antiquité cette version avait cours; Tacite lui-même l'a enregistrée brièvement à la suite de la première 8. On est ainsi conduit à penser que Sérapis est Osiris infernal, identifié avec Apis mort VIII. Ce système a rencontré des adversaires résolus 10; on peut dire cependant qu'il offre, au milieu de toutes les hypothèses entre lesquelles on peut faire un choix, la plus séduisante et la mieux coordonnée 1l. Quoi qu'il en soit, il résulte de ce qui précède qu'Alexandrie possédai t, depuis les premiers Lagides, une statue de Sérapis de type hellénique. De très fortes présomptions nous portent à croire qu'elle était l'ouvre de Bryaxis, célèbre sculpteur de l'école de Scopas, qui a pu travailler encore à la fin du ive siècle avant notre ère 12 ; ou bien il l'avait exécutée à Alexandrie même par ordre de Ptolémée IC1' Soter ; ou bien, cet ouvrage, fait primitivement pour représenter un Jupiter, un Esculape, ou un Pluton, fut acquis de quelque cité grecque 13, après la mort de l'artiste, soit par ce prince, soit par son fils ou son petit-fils. Pour ce qui est du culte lui-même, àpeine institué, il jouit tout de suite d'une grande vogue; on raconte que Démétrius de Phalère, qui passa les dernières années de sa vie en Égypte et mourut en 283, très peu de temps après Ptolémée Soter, composa en l'honneur de Sérapis des hymmes qui se chantaient encore au me siècle ap. J.-C. 14. Le Sérapéum d'Alexandrie fut un des monuments les plus considérables et les plus somptueux du monde ancien '. De là le culte du nouveau dieu se répandit très rapidement, comme l'attestent les monnaies et les inscriptions, dans tout l'Orient grec; vers l'an 250, il était célébré au Pirée par une association de Sarapiastait6 et Athènes possédait un Sérapéum, qui datait peut-être même de Ptolémée Soter 17. Au n° siècle, on constate la présence de Sérapis dans l'Italie méridionale et même à Rome 18. Avec quelle peine il s'y maintint. comment ses destinées subirent les vicissitudes de la monarchie des Lagides, comment enfin il triompha définitivement en Occident sous Claude et sous Néron, quels temples lui furent élevés dans la capitale de l'Empire, c'est ce que nous n'avons pas à exposer ici ; son histoire, dès le premier Ptolémée, se confond avec celle d'Isis, qu'on lui avait donnée pour épouse et pour parèdre [Isis, OSIRIS]. Identifié avec Osiris19, époux d'Isis, Sérapis est, par conséquent, le principal personnage d'un mythe solaire, dont tous les actes symboliques figurent les révolutions de l'astre du jour et en même temps les transformations régulières qui s'accomplissent dans la nature et dans la destinée humaine. Quoique immortel, il naît et il meurt ; il est à la fois la vie et la mort; il a une Passion et une Résurrection, que l'on célèbre à dates fixes avec solennité20. De là, dans ses attributions, un double caractère, SER 1250 SER que l'on a cherché à rendre sensible à l'esprit des Grecs en l'identifiant d'une part avec ceux de leurs dieux qui représentaient la joie, la lumière, la sérénité, l'intensité de la vie, d'autre part avec ceux qui représentaient le deuil, les ténèbres, la puissance fatale et nécessaire de la mort. Ce travail s'est fait d'autant plus facilement qu'un de leurs dieux, Dionysos, réunissait déjà en lui ces deux aspects [BACcaus] t. L'attribut essentiel qui distingue les images de Sérapis entre celles de tous les dieux similaires, c'est le CALA'rucs, la corbeille sacrée des mystères, symbole d'abondance; posée sur sa tète, elle le classe parmi les divinités chthoniennes, en qui les initiés adorent la fécondité inépuisable de la terre [CERES; le boisseau [MODICS], que l'on reconnaît souvent dans cette coiffure, exprime la même idée'; il n'est pas rare de le voir orné extérieurement de branches d'olivier et d'épis de blé'. Comme divinité chthonienne, Sérapis rappelle d'abord Iladès-Pluton, et il résulte de la légende même de son installation à Alexandrie que c'est avant tout sous la forme de ce dieu qu'on a entendu le représenter. Il a les traits d'un homme dans la maturité de l'âge, dont le visage, encadré par une longue chevelure et une barbe touffue, est empreint d'une expression grave, parfois même menaçante. Il est vêtu d'un ample manteau, qui ne laisse que les bras à découvert; à ses pieds se dresse un Cerbère tricéphale, à la fois chien, lion et loup ". La statue d'Alexandrie, en bois sculpté, était recouverte d'un enduit bleu sombre, qui ajoutait encore à l'impression de tristesse et d'effroi produite sur les âmes par ce souverain du ténébreux royaume'; plusieurs bustes de nos collections, issus du même type, ont été, en vue de cet effet, taillés dans du marbre noir, du basalte ou d'autres roches de couleur foncée'. Mais, d'autre part, Sérapis, niaitre de l'empyrée, a hérité aussi de toutes les attributions de Zeus'; certaines de ses images, où domine une expression de majesté sereine, semblent plutôt le représenter dans ce rôle°. En outre, comme Osiris ressuscité et triomphant, il est le dieu du soleil; il se confond avec Hélios [scu], si bien qu'on taines de ses images la tête est ceinte d'un diadème et entourée d'une auréole de rayons; ses adorateurs résument cette double conception en l'invoquant sous le nom de ZEbç "ilXtoç p.éyaç E€parz:ç10. Mais il joue dans ses rap ports avec l'humanité un rôle qui a dû contribuer bien plus encore à lui attirer les hommages des peuples : c'est un dieu guérisseur ; comme tel il se confond avec Esculape, inventeur de la médecine et patron de ceux qui l'exercent [AESCULAPIOS] ". Il délivre les hommes de leurs infirmités surtout par ses oracles ; les malades vont passer 1 Dionysos-Osiris. Herod. I1, 144; Lafaye, Divin. d'Alex. p. 6-9 et 19; Rissing, 33: Ameluug, Ilee. archéol. 9908, II, p. 101, n" 8, 9, 10 sq. 5 Sur cet attrip. 291-314; Ameluug, L. c. p. 202 ; Macrob. L. c. 6 Athenod. ap. Clem. Alex., S. Reinach, Amehmg, L. c. 7 Lafaye, L. c., Calai. u" 21, 24, 25 et sans doute aussi d'autres exemples dans le catalogue d'Amelung, p. 189 sq. 8 Tac. Rist. IV. 84. Dion. Pcrieg. 265; Achill. Tai. V, 1, 2; Nonn. XL, 399 ; 7,6; :Dotes, 197 ; l'lew, p. 28-31 ; Drexler, Hclioserapis ap. Roscher, Le.-cite. etc. 11 Callint. la nuit, auprès de ses autels et il leur dicte pendant leur sommeil des ordonnances, qu'interprètent les ministres du culte [INCUBATIO]. Sous l'Empire, Sérapis est passé tout à fait au premier rang parmi les divinités iatromantiques et ses sanctuaires sont devenus, comme ceux d'Esculape, de véritables hôpitaux, où l'on croyait obtenir la guérison de toute espèce de maux par des pratiques qui associaient l'art médical à la superstition la plus exaltée 1L. Enfin, quand le paganisme décline, Sérapis, sous l'influence du syncrétisme, absorbe en lui les attributions de tous les dieux mâles, en même temps qu'Isis se transforme en une divinité féminine univer selle [Isis]; il est Sérapis Panthée, ou, comme le proclament ses adorateurs, un « Zeus unique», maître non seulement du ciel, mais encore de la mer et de la terre, en un mot de toute la naturet3.Dèslors,nousrencontrons souvent son nom et son iinage sur les amulettes, les abraxas et autres monuments de la magie, au milieu de symboles ou de lettres cabalistiques, que nous ne sommes pas toujours en mesure d'interpréter : on sait quel lien étroit la magie et l'astrologie ont eu de tout temps en Égypte avec la religion. [MARIA 1'']. Parmi les monuments figurés du culte de Sérapis, une première classe comprend tous ceux qui le représentent assis, comme on le voit dans la fig. 6367. La main droite est abaissée vers un Cerbère tricéphale; la gauche tient un sceptre, symbole de l'empire que le dieu exerce sur les vivants et sur les mortsf3. C'était évidemment là le type classique, celui qui le rapproche le plus des images de Zeus [JUPITER], de Pluton [PI.HTO] et d'Esculape [AESCULAPIUS], dont il est dérivé. Il est très probable que les répliques de ce type conservées dans nos musées reproduisent, plus ou moins fidèlement, la statue en bois, oeuvre de Bryaxis, qui ornait le Sérapéum d'Alexandrie 1b. Dans les premiers temps de l'Empire apparaît un nouveau type, le Sérapis debout (fig. 6368); ce Dion. Chrys. Or. 32; Firmic. Matern. De err, pro/an. relit'. 13, 4; Strate. 94; Aelian. Hist. anim. XI, 31-35 ; Bouché-Leclercq, Hist. de la divin. dans t'eut. 20, 17; Numen. ap. Orig. Gels. V, 38; Tac. Hist. IV, 83 ; Lafaye, L. c. n. 138, 139, 143, 213, 214; Micl,aëlis, L. c. p. 301. 11 Sur Sérapis et lao v. Lehmann, 214. 15 Statue trouvée à Pouzzoles. Musée de Naples, Clarac, Mus. de sculpt. pl. 757, n. 1851 ; Lafaye, L. c. n' 31. 16 Amelung a cherché à reconstituer l'oeuvre de Iiryaxis d'après ces répliques, dont il a catalogué les principales. Ajoutez par ex. 17 Statuette de bronze, Musée de Florence, Miebaélis, L. c. p. 297 = Lafaye, L. c. n. 31 (les bras sont restitués, mais d'après des indications entes). SER 1251 SER