SITOIJ DIRE (E(Tou l(x7). Action d'aliments'. Une action de ce genre pouvait être intentée à Athènes, par le xuptoç de la femme quand le mari ou ses héritiers n'avaient pas restitué le capital de la dot 2 [Krllos, p. 879]. Cette action appartenait à la compétence de l'archonte éponyme 3 et elle était jugée à l'Odéon'. Elle devait être intentée dans les vingt ans qui suivaient la dissolution du mariage, sinon elle était prescrite 6. Une action analogue était sans doute à la disposition de l'épicière pour obtenir satisfaction de son fils, si celui-ci lui refusait une pension alimentaire G. Très probablement la e(TOI) ô(x'q était possible aussi pour forcer le tuteur à s'acquitter du devoir qu'il avait d'entretenir son pupille et pour imposer aux enfants l'obligation alimentaire vis-h-vis
de leurs parents Cn. MICHEL.