Le Dictionnaire des Antiquités Grecques et Romaines de Daremberg et Saglio

CANON FRUMENTARIUS

CANON 1+RUM . ptâp l -Pendant la république romaine, certaine, ces étaient parfois assujetties €i payer en nature une partie de leurs impôts yEeTiiiiiitiLl et notamment en blé, destiné à Ra,pproi meulent de la ville de Rome, salas les noms de rPt4:ENT'Jsi IeiPFrnAT67M, EnPTLrr s,,, ctr ,_ . [hie partie de ces céréales était, suivant les eirconstse, i,-nec gratuitement (coN CÂ iii d bas prix par les sons ' édiles ou l'annone îP système s'étendit ular s-.., et e puons apparaître le nanon, foi, s tarons, ou la pr ''s,s 'n en blé due par plusieurs pie'mees à la, ville de Rome et plus tard àf:onstantinople. Sous auguste, l'Égypte fournissait à elle seule 20 millions de ,nod;e de blé, quanfit é suffisante pour la consommation de Ro-nependant quatre moid'où il résulte que la consommation annuelle était de 60 mil-lions, tir, on évaluait de fa à 5 s'eodær la quantité de b nécessaire à un esclave ou à un soldat pendant un Ir , . On peut tirer de là quelque lumière sur la popu!. probable de Borna le cette époque. En effet, la r omm . Iton annuelle d'un homme étant fixée à. un :;.paraît certain que Borne comptait au moins inc ili' d'habi tants, et probablement davantage, car les oc.s, les enfants les classes aisées consomma..«t' doute beaucoup moins en blé que la moyenne n lut" d'un soldat. 2O0,OOO citoyens pauvre seulement le cc-nçazrz'urr. c'est-à-dire environ 12 millions en distributions gratuites; restaient 48 millions r les autres habitants; avais, dans les année difficiles, l'État vendait du blé au-dessous du cours ; ce qui constituait une perte sèche pour le trésor et u fond une larptio fruuneotaslé moiras considérable; dont. Auguste sentit bien les inconvénients économiques et moraux 5; il g efforça a moins de restreindre le plus po.,ibie les conçt , . fa ou LsSEpd.E ruusrbx oeixc. tirl'ant i,,, s°ae n»,nnuarïaie elles servaient probablement aux d,jibutions non gratuites; le trésor vendait ces bons ou t.:'.,ettes aux citoyens qui en demandaient, afin de les échanger dans les magasins de P État contre une certaine quantité de blé. 11 arriva plusieurs fois que tes greniers publies (Irerrrea nb'ica) se trouvèrent insuffisamment garnis', poire aba '.Jr , prix des céréales sur le marché. Aussi., sous Si ; successeurs on songea à amasser par avance un appro ,isione nement pour sept ans, dans des greniers ;, afin de parer aux cas de disette En crème tenir_ a: d'encoura ger le commerce libre (ce ?i était plus e+2 contradiction avec le système règlement,:' des priviléges et immunités ' furent cenLions des Il tilde `-;' I ,.àtenrs. niants en blettie!. L'ai` nome de Septi! ' tissait 's l rs de la ni de cet empereur, un , :p a ovïsioa n ri nt, de blé en réserve composé, suivant S(e'"nu-n du canon de sept années, suffisant àune distribution par jour évaluée luit' cet écrivain à'%5 mille anodi 52 ce qui donne par am. 2' ,3 5,000 ;nsd'i, ou la nourriture de 450,000 personne' environ., comme les distributions gratuites se bornaient à i1n no33Ae bre de 200,000 individus, il s'ensuit que le surplus devait être vendu pour le compte de l'État, Du reste, .:te s chiffres prouvent que Spartien n'entendait point parler de la consorurnation totale de la population de Rome, 'nais de la distribution gratuite ou non, en fixant le chiffre de As. pile, CA1\ 89P fer` N 7d,t00 inouï, par jour, il y eut également à Constantinople un canon i 8 uyne afve ae s, organisé par l'empereur Constantin, maïs qui fut t 'glë aussi par ses successeurs 13 Quant aux détails e i ._sation administrative con cernant le canon jrx i c tt,•a. les nomma., nous renvoyons a, cet article et aux articles 4moNA CivICX et a'RAE EGTUS E.AN ABRUM .Étendard iorna,n dont la forme et l'emploi sont tout a lait inconnus, Le t l8'Ofi rdtt8 est nommé avec les vomi/1a et les signa par Minueius Félix' et Tertullien '. d, ras LA BERGE. CAii ERJUS. --I. Cheval hongre 1, Il. Pièce de lia charpente d,1 toit [1te,,.u 1 ,vFa'£r 1iiaCj Ili Appareil de vétérinaire servant â tenir suspendus l1schevaux qui s'étaient brisé les jambes et àles empêcher de tout1`, . lu ,.i 2. l V. Et, 'chalas pourvu de ï:a, ry; s pour attacher la vigne us:.,]. . A RGJS (Késl1por). -Ce nom se rencontre le puis sc cive . , .nployé pour désigner un vase à boire en usage chez les Grecs et: eh.,, les Romains, Selon quelques auteurs ce vase aurait été ainsi appelé du nom du potier qui le p emier en fit de ce genre 1° Un savant et ingénieux anti quaire 2 -appelé sue Cantharus tétait le rom d'un l'éros, cou' p o1, de Bacchus, qui l'aurait aussi donné à l'un des trais bas. n s du Pirée 3 Cantiaius était aussi le riens d'une sorte de trie, de forme inconi:ue et main celui du sea. r:.ph ee ( , ':t r,» gui, après avt cc„pe une grande I p ive dall ce. rires de ï Cg'ap t;ll eut une aussî, à c qu'il s 1e, dans celles de 1 Parie, où on en a rencontré la 11 e -out-nu i ;duit tan des r, , montées t eu en 'ses b _°,ux; la C ce même n'y fout pa_ étrangère 6, On a_ cherune des analogies entre toutes ces choses de même nom, qui ne peuvent avoir eu que des rapports extrêmement éloignés ; et peut-être ne trouvera--t-on pas que ces rapprochements et ces conjectures fussent superflus pour déterminer la forme du vase nommé canthare, si l'on songe gie'Ath P siée, vers la lu' du siècle api J,-C., a : '',jà nécessaire de la 1 aller en s'appuyant de de plusieurs p,, q: nu 6,8) navire on sait 'tell, y. 'U s'appelait v,sl P s'accorde' _se ,,. 1,_ai , c,aTadans clou coupes profondes °es;en!bler e à de, petits cratères, largement ouvertes, munies d'un. pied et lire deux grandes anses en forme d'oreille longearl., la paroi et dépassant le bord le plus souvent. f'8 en voit fréquemment de sein dans les drains de Bacchus et des Satyres Olt Litres personnages qui l'entourent 3. Beaucoup de . ont été conservés; ils sont de es les temps. Ce lui que reproduit la figure 111-",7 , d'us beau galbe", quoique un peu lourd de forme, st un de ces _ses de pâte noire sans peiinture et sans autre orrieme,nt que rlulelq';s traits gravés dans la terre avant la cuisson_, qui sont propre d. l'Etrurie.fje , t voit -un autre (fig. `•. _ ;) fort élégant, t 'et beau temps de la céramique gré que, tiré de la collection ti1 .cas ïo '' o d Çh?_i 28(1 l2tua-° sce britannique on remar quera qu'il est fermé pal' un couvercle, circonstance '1169 n'est pa ordinaire , mais dont on peut citer d'autres exemples, tel est celui qu'off. 'tlift 11gi17'é sur une naisIPan, de Lampsaque (fig. 1129), Le vase en forme de tête humaine (ri . 1130), qui a motivé la dissertation citée plus haut t , est en argile et rehaussé par la peinture ; c`est an élégant modèle, qui montre -eu quelle fantaisie les artistes nt su varier un type sans en changer `.e ra',tere. lei le pied est supprimé ; an contraire, dans nia beau ,aise rra, musée du Louvre (fig 1131.», formé par la sen CAN --884 CAN nion des deux visages d'un satyre et d'une nymphe , c'est le cou largement développé de cette double tête qui sert de support. Tous ces vases sont de terre. L'argile paraît avoir été, en effet, la matière la plus ordinaire des canthares ; mais il y en avait aussi qui étaient faits en métal précieux 13 Il faut chercher une ressemblance entre le vase à boire appelé canthare et d'autres destinés à recevoir des eaux jaillissantes, qui sont désignés quelquefois sous le même nom 1', quelquefois sous celui de PHIALA. Le rapprochement de ces noms indique bien qu'il s'agit de vasques très-ouvertes, en général plus larges que profondes ; l'examen des monuments fera comprendre l'analogie que l'on avait saisie entre eux. La figure 1132 représente un grand bassin de porphyre du musée de Naples 15, qui conserve dans ses dimensions colossales la forme des coupes dans lesquelles on buvait ; il est muni comme elles d'anses, qui ne peuvent avoir servi à le mouvoir, et a un pied semblable, mais dontla force est proportionnée au poids qu'il devait sup porter. Dans les ruines de Pom péi on en a rencontré" d'autres ~~~(I Il li plus ou moins semblables, mais de moindre grandeur, avec ou sans anses, auxquels le même nom s'appliquait sans doute; quelques-uns occupent encore la place pour laquelle ils avaient été taillés. On en voit aussi dans les monuments figurés, par exemple dans la peinture de Pompéi ici reproduite (fig. 1133)17; une autre peinture qui décorait le fond d'un péristyle, dans une maison de la même ville 13, représente un jardin où l'on voit, au milieu des arbustes et des fleurs, deux fontaines dont le jet re tombe dans une coupe portée par un pied élevé en forme de balustre. Les oiseaux viennent y boire et s'y baigner. C'est le sujet qu'on voyait traité dans une mosaïque célèbre et que Pline a décrite 19, en se servant pour nommer le bassin du mot cantharus; ce motif semble avoir été souvent reproduit dans l'antiquité, et il a passé avec un sens symbolique dans l'iconographie chrétienne 20. Ces vasques, qui avaient orné l'atrium des habitations ou l'entrée des temples païens, occupèrent la même place dans l'enceinte qui précédait les basiliques chrétiennes. On en voit une où l'eau jaillit, figurée dans une des mosaïques de Saint-Vital de Ravenne, représentant l'impératrice Théodora, femme de Justinien, faisant son entrée dans cette église 2i, et la forme du vase montre à quel point le nom de canthare lui convenait encore. Dans une miniature de manuscrit de la fin du vie siècle 22 représentant l'enceinte du tabernacle des Juifs, le vase destiné aux ablutions a l'apparence d'un canthare à deux anses : au-dessus on lit le mot ',Antium : ainsi les deux noms étaient devenus peu à peu synonymes. On s'expliquera par l'analogie des formes que l'on ait aussi appelé canthares, au moins à une basse époque, des lampes suspendues, dont le nom dans la bonne latinité est lychnuchus pensilis ou Lrcuxus. E. SAGLIO. CANTICUM. Ce terme qui, dans sa signification la plus générale, s'étend à toute espèce de chansons, désignait plus spécialement certains morceaux des pièces du théâtre latin. « Les comédies romaines, dit le grammairien Diomède, ne contiennent que deux parties, les diverbia et les cantica, » c'est-à-dire ce qui était parlé et ce qui était chanté', et il ajoute que « dans les cantica il ne doit y avoir sur la scène qu'un seul personnage, ou, s'il y en a deux, il faut que l'un écoute, d'un endroit caché, sans interpeller l'autre, mais qu'il peut seulement s'adresser la parole à lui-même, quand il en est besoin. » Les cantica étaient donc, selon Diomède, des monologues lyriques, assez semblables à ces stances qu'on trouve dans les vieilles tragédies françaises, et que Corneille a conservées dans ses premiers ouvrages. Il y a, en effet, dans les pièces de Plaute et de Térence, un certain nombre de ces scènes lyriques, où le personnage est ou croit être seul sur le théâtre, et s'abandonne en liberté à toute l'ardeur de ses sentiments. Cette définition, qu'on avait acceptée jusqu'ici sans discussion 2, a paru beaucoup trop restreinte aux savants qui, de nos jours, se sont occupés du théâtre latin. II leur a semblé que, si l'on ne donnait le nom de cantica qu'à des monologues, ils ne seraient pas en assez grand nombre dans les pièces latines; or nous savons, par les grammairiens et les commentateurs, qu'il devait y en avoir beaucoup, et Diomède lui-même laisse entendre qu'ils étaient plus nombreux que les diverbia Une découverte qu'on a faite récemment achève de prouver que la définition de Diomède ne doit pas être tout à fait exacte. Certains manuscrits de Plaute portent, en tête de plusieurs scènes, des signes dont on ne s'était pas aperçu ou qu'on avait négligés : ce sont les lettres C et DV. Il ne fut pas difficile de voir que ces lettres désignaient les cantica et les diverbia ". Parmi les scènes que les manuscrits signalent comme étant des cantica, il en est un certain nombre qui ne sont pas des monologues, ce qui prouve qu'on ne peut pas avoir une foi absolue dans la définition de Diomède. En faisant un relevé exact de tous les signes qu'on retrouve sur les manuscrits de Plaute, Ritschl constata que le nom de diverbia s'applique toujours à des scènes écrites en ïambiques trimètres (senarii). Quant à celui de cantica, il désigne deux sortes de morceaux assez différents l'un de l'autre : 1° des scènes d'un caractère tout à fait lyrique, qui contiennent des vers de mesure diverse, des anapestes, des crétiques, des bacchiaques reliés ensemble d'une façon qui nous semble assez capricieuse; 2° des scènes entièrement écrites dans ce système de vers qu'on appelle septenarii trochaïques 5. Ce sont en réalité des choses assez peu semblables, et l'on pourra s'étonner d'abord qu'elles portent le même nom : les cantica écrits en mètres lyriques supposent une certaine émotion de l'âme ; les autres ressemblent trèssouvent aux diverbia ordinaires et conservent le ton de la simple conversation, mais Ritschl fait remarquer avec raison que les anciens distinguent les genres littéraires moins par leurs différences intimes et essentielles que par leurs diversités extérieures. C'est ordinairement la mesure des vers qui sert de base à leur classification. Les septenarii ont été rapprochés des mètres lyriques parce qu'ils étaient exécutés comme eux avec un accompagnement musical. Ritschl hésite pourtant à croire que le rôle de la musique dans les deux espèces de cantica fût tout à fait le même. Les différences rhythmiques et prosodiques qui séparent les septenarii des anapestes ou des crétiques ne lui semblent pas permettre qu'ils fussent exécutés de la même facon; il suppose que les cantica lyriques étaient véritablement chantés comme nos récitatifs d'opéra, tandis qu'on se contentait de soutenir avec un accompagnement de musique la déclamation des septenarii, à peu près comme il arrive quelquefois dans les mélodrames de nos jours ; c'est ce que Cicéron lui paraît exprimer quand il dit du personnage d'une tragédie latine : septenarios fondit ad tibiam a. Quoi qu'il en soit de ces différences, si l'on réunit ensemble les deux espèces de cantica indiqués par les manuscrits, on trouve que, dans les pièces latines, la partie musicale l'emporte sur la partie purement déclamée, ou, en d'autres termes, que les cantica y sont plus nombreux que les diverbia. Il est plus d'une fois arrivé que les auteurs latins ont traduit en mètres lyriques ou en septenarii une scène qui était écrite dans l'original en ïambiques trimètres. Il n'est pas douteux qu'ils ne le fissent que pour obéir aux exigences de leur public. C'est la preuve, selon Ritscbl, que le bourgeois romain qui allait au théâtre éprouvait le besoin d'être arraché, pour quelques heures, à sa vie ordinaire, et qu'il voulait être transporté dans un monde étranger et idéal. La prédominance de l'élément musical dans les pièces qu'il voyait représenter le plaçait dans une atmosphère plus ou moins poétique et suffisait pour l'enlever à la réalité de tous les jours. II résulte de ce qui vient d'être dit qu'en général on entendait par cantica les morceaux des pièces latines qui étaient chantés ou accompagnés par la musique; mais il est probable que, dans un sens plus restreint, ce nom s'appliquait surtout à la partie lyrique, qui contenait des mètres de diverses mesures, et où la musique devait être plus importante et plus sensible qu'ailleurs. Cette partie pouvait, à la rigueur, comprendre des dialogues, comme il arrive par exemple au commencement du Stit.'hus de Plaute, mais il était naturel qu'elle se composât plutôt de longues tirades et surtout de monologues, qui sont plus propres à être chantés. On a pu être amené ainsi à regarder les monologues lyriques comme les cantica par excellence, et c'est ce qui explique la définition qu'en a donnée Diomède 7. Dans les cantica de ce genre, la musique avait une grande importance: Donat nous apprend qu'elle était composée par un artiste particulier dont on mettait le nom sur le titre de la pièce avec celui du poète et du principal acteur g. Elle était exécutée, selon Diomède, avec certains instruments qui semblaient mieux lui convenir et par un artiste spécial : de même que les choeurs étaient soutenus par le choraules, le pythaules accompagnait les cantica 9. Ces cantica faisaient tant de plaisir et finissaient par devenir si connus qu'on prit l'habitude de les séparer des pièces dont ils faisaient partie et de les exécuter à part, comme il arrive souvent pour les grands airs de nos opéras. C'étaient sans doute des cantica ainsi isolés qu'on chanta aux funérailles de César et qui émurent le peuple par les allusions qu'il crut y trouver au sort malheureux du dictateur 10. On connaît le récit que fait Tacite de cette fête où Néron, entouré de ses camarades, jeunes comme lui, et voulant humilier Britannicus, lui ordonna de chanter. a Le prince, sans se déconcerter, chanta des vers dont le sens rappelait qu'il avait été précipité du rang suprême et du trône paternel It. o Les commentateurs supposent avec assez de vraisemblance que ce morceau n'était autre qu'un canticum célèbre, tiré de l'Andromaque d'Ennius, que Cicéron cite toujours avec admiration 1e. Un passage de Tite-Live nous apprend que de bonne heure les cantica furent exécutés à Rome d'une façon particulière, qui leur donna encore plus de vogue et d'importance. Il raconte que le poète Livius Andronicus, qui représentait lui-même ses pièces, s'étant fatigué la voix à force d'en répéter les beaux endroits, obtint du peuple la permission de placer auprès du joueur de flûte un jeune esclave qui chantait pour lui les paroles des cantica. Délivré de ce soin, et n'ayant plus à s'occuper que des gestes, Livius put y déployer plus de vigueur et d'élégance. Aussi les Romains, charmés de son jeu, firentils de cette exception un usage général ; dès lors ce devint une règle que, dans les cantica, les gestes et les paroles fussent séparés et confiés à deux acteurs différents 19. Ce C41' récit de Tite-Live, qui se retrouve chez Valere lIteaime:4 et qu'ils avaient Lies-p'obablement tirés l'un et ! auIre de V u on, ne peut, être révoqué en doute dans st, per._ essentielles. On peu, .tout au plus hésiter a croire quo cet :sage remonte aux origines rot=ures du théâtre latin ou qu'il ail, persisté sans interruption depuis Livius Andronicus jusqu'au temps d'Auguste ; ruais il est sûr que vers la lin de la république, et peut-être longtemps avant cette époque, on représentait les ça'PU', ,,,i moins ceux qui consistaient en tirades ou énmml,c je_ a*,'ir'lties, comme l'indique Tite-Live. Cette séparation des gestes, ou, comme on disait alors, de lia danse et du riant, parait avoir été particulière au théâtre latin; eii... liait les cantate romains des monodies de la ' tige;'. :,tique; c'est elfe qui fil, surtout le succès des Pa,;;, a.tlprès du peuple, et l'on croit qu'elle conduisit naturellement à la création de la. pantomime 's'i`tromruius'. Lu tragédie et la comédie n'étaient pas seules à posséder des cantiea; on sait qu'il y en avait aussi dans Ies Atellanes et les IIlines, et il est probable qu'aucun des genres de pièces qui se produisirent sur le théâtre latin ne négligea ce, inca; en assuré et facile de plaire au public. CAPILLÀME TITM [coma., cr?LUnusj,