PARTHENEIA (IIapOEVE)a). I. Fête célébrée, au temps du roi Mithridate Eupator, dans la Chersonèse taurique (Crimée), en l'honneur de la HapBivoç 1, c'està-dire d'Artémis, la grande divinité de la Tauride [PIANA, p. 135-137]. Son temple s'appelait IIapOévtov
jeunes vierges, quelquefois accompagnés de danse', en l'honneur de certaines divinités, particulièrement d'Apollon et d'Artémis invoquée conjointement avec lui 'PAEAN, p. 268; DAPHNEPHORIA, p. 25]. Alcman et Pindare avaient, composé des hymnes de ce genre E. P.
PARTHIENIAS (IIuohev(aç). On donna ce nom aux enfants nés à Lacédémone pendant la première guerre de Messénie, soit des relations des femmes spartiates avec les EPEUNAKSOI, soit plutôt, comme le dit Éphore de l'union libre des jeunes filles de Sparte avec quelques soldats que l'on renvoya de l'armée pour conjurer le danger de la dépopulation de la cité. La guerre finie, ces enfants, contrairement à leurs espérances 2, furent dépouillés de la qualité de citoyens. Pour se venger, ils organisèrent un complot qui fut découvert, et on les envoya fonder une colonie à Tarente 6.
Le nom de .itapiue:zç, d'une façon plus générale, était
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donné aux enfants qui, conçus antérieurement au mariage, ne naissaient que postérieurement à la célébration, oi ysve4pvo1 7caoOéeli Apb Toü ?4tote©xt' ; peut-être aussi à tous les enfants qu'une femme de moeurs en apparence régulières avait eus avant son mariage'. E. CAILLEMER,